Avec sa dernière chronique acidulée (“Juppé, le trou de la sécu”) Pierre-Emmanuel Barré nous a offert un portrait au vitriol d’Alain Juppé – “le mec il est aussi perspicace en géopolitique que Nadine Morano en TOUT“, “même son pacemaker a un petit pacemaker“. Plus soft, sa collègue Charline Vanhoenacker ne se prive néanmoins pas de contester […]
https://www.youtube.com/watch?v=d5ZeEXWyyLw
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Avec sa dernière chronique acidulée (« Juppé, le trou de la sécu ») Pierre-Emmanuel Barré nous a offert un portrait au vitriol d’Alain Juppé – « le mec il est aussi perspicace en géopolitique que Nadine Morano en TOUT« , « même son pacemaker a un petit pacemaker« . Plus soft, sa collègue Charline Vanhoenacker ne se prive néanmoins pas de contester la légitimité du maire de Bordeaux, au coeur de la primaire de la droite de 2016. Lors de L’émission politique du 6 octobre dernier, la cheffe de bande de Si tu écoutes, j’annule tout a pris la température de la situation électorale hexagonale avec esprit : « les gens de gauche vous plébiscitent. C’est vous dire à quel point ils sont désespérés ! « .
Offrant un skate à l’ancien ministre des Affaires étrangères et européennes afin de tourner en dérision son profil de candidat septuagénaire, l’humoriste a asséné à ce dernier un florilège de piques bien senties : « Vous séduisez la gauche, mais vous avez un programme de droite : quelle souplesse monsieur Juppé !« , »Quelle décontraction face aux chômeurs monsieur Juppé ! Le swag de droite !« , « Vous étiez le meilleur d’entre nous, vous êtes devenu le moins pire« . Un texte en définitive tout aussi drôle que désabusé : « Vous avez changé. C’est fou ça, en politique, en ce moment, tout le monde change, sauf la situation des français« .
Lors de son billet radiophonique du 4 juillet dernier, Charline Vanhoenacker conseillait à Alain Juppé de se « familiariser avec la culture populaire« . Quelques semaines auparavant, elle raillait, face à Virginie Calmels, sa jeunitude forcée, le comparant au fil des sarcasmes à Loana et Nabilla. C’est ce décalage constant entre l’homme politique et son public qui est de nouveau scandé ici, sous les regards amusés de David Pujadas et Léa Salamé.
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