Les interviews de Philippe Katerine sont en général gratinées. Alors imaginez sa rencontre avec le fantasque Edouard Baer. Celle-ci a eu lieu ce 13 avril dans l’émission matinale de Radio Nova, Plus près de toi. Et l’échange fut en effet surréaliste. Philippe Katerine vient de publier un recueil de réflexions graphiques poético-philosophiques sur l’amour et la mort […]
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Les interviews de Philippe Katerine sont en général gratinées. Alors imaginez sa rencontre avec le fantasque Edouard Baer. Celle-ci a eu lieu ce 13 avril dans l’émission matinale de Radio Nova, Plus près de toi. Et l’échange fut en effet surréaliste. Philippe Katerine vient de publier un recueil de réflexions graphiques poético-philosophiques sur l’amour et la mort (Ce que je sais de la mort, ce que je sais de l’amour).
Interrogé sur ses dessins en vue aérienne, il déclare d’abord : « C’est un paysage de bocage, c’est une grande joie que de dessiner le bocage, parce que la plaine c’est un peu ennuyeux ». Puis, de manière inopinée, la conversation dérive sur les « différences » entre le train et l’avion : « En train vous avez la chance aussi parfois de vous arrêter, alors qu’en avion… y’a peu de chance », souligne le chanteur. Eugène Ionesco, l’un des inventeurs du théâtre de l’absurde, n’aurait pas pu imaginer un tel dialogue…
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