Il n’y a pas qu’à l’Assemblée nationale – où Manuel Valls a proposé hier Eric Woerth pour le prix de l’humour – que l’on se marre ces derniers jours. Ce 15 juillet au Sénat, le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius a fait preuve d’ironie lors de son discours sur la Grèce: “J’éprouve une difficulté, […]
Il n’y a pas qu’à l’Assemblée nationale – où Manuel Valls a proposé hier Eric Woerth pour le prix de l’humour – que l’on se marre ces derniers jours. Ce 15 juillet au Sénat, le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius a fait preuve d’ironie lors de son discours sur la Grèce: « J’éprouve une difficulté, puisque mon obligation gouvernementale nécessite que je lise la phrase qui m’est proposée : ‘je veux saluer l’action déterminée et le talent de négociateur de Laurent Fabius' »
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En fait, il a lu le même texte que Manuel Valls au même moment à l’Assemblée, celui-ci n’ayant pas fait l’objet d’une deuxième version. Il ajoute avec autodérison : « Ce n’est qu’un exemple de plus de ma modestie connue »
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