Le 2 novembre, Jean-Marie Bigard était l’invité de Yann Barthès sur le plateau de Quotidien, dans le cadre de son nouveau one-man show. Celui que le présentateur définit comme “le roi des machos, le pape des beaufs” l’est-il moins en 2016 ? Pas sûr. Après s’être laborieusement exprimé sur le style de Booba, l’humoriste est revenu […]
Le 2 novembre, Jean-Marie Bigard était l’invité de Yann Barthès sur le plateau de Quotidien, dans le cadre de son nouveau one-man show. Celui que le présentateur définit comme « le roi des machos, le pape des beaufs » l’est-il moins en 2016 ? Pas sûr. Après s’être laborieusement exprimé sur le style de Booba, l’humoriste est revenu sur la teneur polémique de son sketch le plus reconnu ( à partir de 3m20s dans la vidéo), Le lâcher de salopes, qu’il définit comme une critique de la masculinité. « Mon lâcher de salopes a fait beaucoup de torts aux salopes » s’escrime-t-il, avant d’assurer que « les mecs sont des gros porcs« , incluant même l’animateur dans le lot.
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Aux réticences des féministes à l’égard de son discours sur la « femme-gibier« , l’intéressé rétorque que « si les féministes pouvaient avoir des couilles, elles en auraient » et, pour se défendre face aux accusations de misogynie, tente une comparaison entre les féministes et « les vraies femmes« , c’est à dire « les autres ! toutes les autres, celles qui voient mon cœur« . La « vraie femme« , c’est donc celle qui « ne se sent pas attaquée » par ses sketchs. Effets du bad-buzz dilué sur les réseaux sociaux ou non, l’émission a atteint vers sa finalité le pic des 1,7 millions de téléspectateurs. « Si tu rigoles pas à ça, à ce moment on a qu’à tous fermer sa gueule » a conclut l’artiste.
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