Interrogé par les lecteurs du « Parisien », l’animateur de Quotidien est revenu sur un conflit qui l’oppose à son concurrent de TPMP.
« Une guerre à sens unique. » Voilà comment Yann Barthès a qualifié la bataille de l’access prime-time qui agite la PAF depuis maintenant plusieurs saisons. Face à l’animateur de Quotidien, un challenger a en effet multiplié les invectives ces deux dernières années : Cyril Hanouna. Interrogé par les lecteurs du Parisien, l’ancien de Canal est revenu sur les échanges parfois musclés entre eux.
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« Moi, je fais mon taf »
« Il est beaucoup plus obsédé par moi que moi je ne le suis par lui », lâche-t-il ainsi. « Si vous vous souvenez bien, je n’ai rien dit sur lui l’année dernière. Moi, je fais mon taf. » Il faut dire que depuis janvier, les attaques de l’homme fort de C8 se sont faites de plus en plus violentes. En mars, Cyril Hanouna avait, par exemple, déclaré qu’il « exécrait » son concurrent. « Il a tout ce que j’aime pas, il n’est pas courageux, poursuivait-il alors. Il balance à l’antenne et quand t’es devant lui, il se retourne et il dit ‘bon bah je vais aller au commissariat’ (…) Moi j’aime les mecs qui ont des couilles, malheureusement il n’en a pas. »
Revenant sur le conflit, Barthès, dont l’émission fait sa rentrée ce lundi soir, explique que « tout ce qu(‘il) j’espère, c’est que (leurs) émissions ne soient pas résumées en guerre Barthès-Hanouna, parce qu’il n’y a pas de guerre Barthès-Hanouna« .
« Je ne sais même pas s’il est grand ou s’il est petit »
Reste qu’Hanouna déclarait au début de l’été dans les colonnes du même quotidien que, selon lui, c’était bien le tête d’affiche de TMC qui avait lancé les hostilités « en se moquant deux trois fois de (s)on public qu’il traitait de beauf sans cerveau ». « Pour moi c’était intolérable », ajoutait-il. Indiquant l’avoir appelé pour régler leur différent autour d’un café, l’animateur de TPMP expliquait que son concurrent avait refusé. « Mais manifestement, il a peur de moi. Il me prend pour un voyou », avançait-il comme justification.
L’un des lecteurs du Parisien a demandé à Yann Barthès pourquoi ce refus. « Il n’y a pas de réconciliation à avoir, puisque je ne l’ai jamais vu de ma vie ! Je ne sais même pas s’il est grand ou s’il est petit. » La guerre de la TNT a encore de beaux jours devant elle.
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