Dans sa chronique du 28 février pour l’émission de France Inter, Si tu écoutes j’annule tout, Guillaume Meurice a suivi Marine Le Pen durant sa visite au Salon de l’Agriculture. Sur son chemin, il a rencontré de fervents partisans de la candidate frontiste et les a parfois confrontés à leurs propres contradictions. Résultat : une séquence […]
Dans sa chronique du 28 février pour l’émission de France Inter, Si tu écoutes j’annule tout, Guillaume Meurice a suivi Marine Le Pen durant sa visite au Salon de l’Agriculture. Sur son chemin, il a rencontré de fervents partisans de la candidate frontiste et les a parfois confrontés à leurs propres contradictions. Résultat : une séquence ahurissante où l’on retrouve les grands classiques de l’idéologie du Front national.
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« Je suis un gros raciste ! »
« Qu’il s’occupe de ses affaires Macron, avec sa Cougarse (sic) », lance tout d’abord l’un d’entre eux. S’ensuit également un racisme totalement assumé : « Les étrangers qui viennent foutre la merde ici, les Roms et tout ça, c’est des gens déjà qui ne sont pas propres, les Syriens ils sont au feu rouge ils nous agressent presque si on ne donne pas de l’argent », lâche un sympathisant avant de préciser très sérieusement : « Je suis un gros raciste ! ».
Ce qui vaut à Guillaume Meurice de conclure qu’il « sature » de « voir dans les médias toujours les mêmes représentants du FN avec un discours aussi policé que policier alors que la réalité est toute autre ».
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