Chaque vendredi, cinq actus mode servies sur un plateau d’argent. Cette semaine, une livraison spéciale vidéos. La leçon de langue d’iD Magazine On l’a vu la semaine dernière avec Proenza Schouler, prononcer les noms des maisons de mode n’est pas toujours une partie de plaisir. Notamment quand les créateurs viennent de Hollande ou de Chine. […]
Chaque vendredi, cinq actus mode servies sur un plateau d’argent. Cette semaine, une livraison spéciale vidéos.
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La leçon de langue d’iD Magazine
On l’a vu la semaine dernière avec Proenza Schouler, prononcer les noms des maisons de mode n’est pas toujours une partie de plaisir. Notamment quand les créateurs viennent de Hollande ou de Chine. iD s’est senti le devoir de montrer la voie aux passionnés de mode avec ce précis vidéo de bonne prononciation, dans la droite ligne de sa série de vidéos “fashion alphabets”. Servi par des instructeur(e)s modèles sapé(e)s des fringues des créateurs en question, cet abécédaire est à conserver précieusement. On dit Merci.
Vice rencontre un pionnier du glamrock
À l’occasion de son numero annuel dédié à la mode, Vice est allé à la rencontre du créateur japonais des costumes de David Bowie pour sa période Ziggy Stardust. Selon Kansai Yamamoto, ses tenues de femme ultra facile à enlever répondaient parfaitement à l’envie de Bowie de transcender les genres et de se changer toutes les deux chansons. Le chanteur l’a donc convaincu de créer ses costumes pour le Ziggy Stardust Tour. Quand on connaît la suite, l’influence sur la mode de l’époque, et sur l’androgynie qui a prévalu dans le glamrock game, on se dit que Kansai Yamamoto mérite d’avoir son nom associé à l’icône Bowie.
Le ramdam de la couverture de Vogue
http://www.youtube.com/watch?v=jx7oJLmhgL0
Depuis que la couv’ a été dévoilée, tout le monde y va de son petit commentaire. Les uns racontent comment Kanye aurait supplié Anna W pour que Kim ait droit à sa une, les autres tentent de relancer leur carrière en en faisant des caisses, à coups de menace de désabonnement et de boycott. Un peu cucul quand même, la une a suscité quelques gentils détournements ici ou là. Anna Wintour a donc dû se fendre d’une tribune pour expliquer son choix, arguant que Vogue avait toujours mis à sa une “ceux qui définissent la culture à un moment donné, qui font bouger les lignes”. En attendant, Kanye se frise la moustache et Kimmie a réalisé son rêve.
38 minutes de Supreme en mouvement
Déjà plus de 20 ans que Supreme trace sa route dans le skate, et pourtant quasiment aucune vidéo au compteur, alors que le format est un classique. Les teasers sur Instagram, les pubs prints dans Thrasher et le teaser vidéo l’avaient annoncé : depuis hier, une vidéo de 38 minutes est disponible sur iTunes. Réalisée par William Strobeck, “Cherry” réunit le casting trois étoiles de la bande Supreme, de Mark Gonzalez à Tyler the Creator. Si vous voulez apercevoir Chloë Sevigny sur une planche, c’est l’occasion.
Options surréalistes pour pied
Le surréalisme est partout. André Breton le définissait comme “une dictée de la pensée, en l’absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale”. Si l’on veut l’appliquer à ses pieds, il y a plusieurs options. Au premier degré avec la collection d’Opening ceremony en hommage au Belge René Magritte, où les Birkenstock des Vans et des Manolo Blahnik. Avant cela, il y avait eu la vision surréaliste imposée par les structures massives et graphiques des baskets Adidas sorties de l’esprit torturé de Rick Owens. Enfin il y a l’approche artistique et visuelle qui débouche sur des assemblages et des combinaisons inédites, importables, comme celles imaginées par Dis à l’occasion de l’expo Disown, dont le slogan résume la philosophie : “not for everyone”. Ceci n’est pas une chaussure.
Par Gino Delmas et Al Polletino
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