Le très rigoureux Prime Minister britannique s’est senti obligé, lors d’un concert donné à Londres pour les 90 ans de Nelson Mandela, d’expliquer au Sud Africain à qui il avait à faire.
Redoutant sans doute des débordements qui n’ont d’ailleurs pas manqué de venir, le très rigoureux Premier Ministre britannique Gordon Brown s’est senti obligé de prendre Nelson Mandela en aparté pour lui expliquer qui était la demoiselle étrange chantant devant lui pour ses 90 ans. Car c’était Amy Winehouse, et c’était évidemment diplomatiquement dangereux : lors de sa reprise de Free Nelson Mendela, l’Anglaise n’a pu s’empêcher de faire très publiquement le rapprochement entre le leader sud-africain historique et son moins historique mari Blake Fielder-Civil, emprisonné pour de bien plus sombres raisons.
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« Alors qu’il regardait le concert, je me suis senti le devoir de lui expliquer, alors qu’elle arrivait sur scène, qui était Amy Winehouse » a expliqué Brown la semaine passée à une centaine de convives amusés. « Et donc j’étais… Eh bien… Il m’a fallu un peu de temps pour expliquer toute l’histoire. Amy Winehouse a ensuite expliqué à ses amis que son mari et Nelson Mandela avaient beaucoup de choses en commun -tous les deux avaient passé beaucoup de temps en prison. Puis quand les gens chantaient la fin de cette grande chanson, Free Nelson Mandela, elle de son côté chantait « libérez mon blackey, libérez mon mec. »
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