Trois jours d’opération aérienne israélienne à Gaza, et toujours pas d’accalmie. Pendant ce temps, sur les réseaux sociaux, une autre opération est lancée : celle des images… et de l’intox. Libération rapporte qu’en une semaine à peu près, environs 400 000 tweets venant du monde entier ont été émis pour dénoncer les frappes israéliennes, dont […]
Trois jours d’opération aérienne israélienne à Gaza, et toujours pas d’accalmie. Pendant ce temps, sur les réseaux sociaux, une autre opération est lancée : celle des images… et de l’intox.
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Libération rapporte qu’en une semaine à peu près, environs 400 000 tweets venant du monde entier ont été émis pour dénoncer les frappes israéliennes, dont d’innombrables photos. Celles-ci, rassemblées pour beaucoup sous le hashtag #GazaUnderAttack, montrent des bombardements, des blessés sanguinolents, des enfants morts….
Mais voilà : comme l’explique Libé, « la plupart détournent des photos prises en Syrie, en Irak ou à Gaza il y a plusieurs années« . Une constat qui vaut bien un petit rappel : s’ils sont souvent utiles, les réseaux sociaux ne sont pas toujours vecteurs d’une information vérifiée et recoupée… en un mot, fiable.
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