Et non, nous ne sommes pas le 1er avril. D’après Le Canard enchaîné daté du 14 juin 2017, l’ancien président de la République François Hollande songe au futur. Un mois après la passation de pouvoir avec Emmanuel Macron, l’homme de Rouen a des élans nostalgiques, surtout après la rouste que son parti – le PS […]
Et non, nous ne sommes pas le 1er avril. D’après Le Canard enchaîné daté du 14 juin 2017, l’ancien président de la République François Hollande songe au futur. Un mois après la passation de pouvoir avec Emmanuel Macron, l’homme de Rouen a des élans nostalgiques, surtout après la rouste que son parti – le PS – s’est vu infliger lors du premier tour des législatives, le 11 juin.
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#mercipourcesmoments
L’hebdo raconte comment Hollande a joué la carte du réconfort auprès des battus : « Il était impossible de résister à une vague de fond pareille », a-t-il expliqué. On doute toutefois qu’il ait passé un coup de téléphone à François Lamy. Le fidèle de Martine Aubry a été défait dans le Nord et avait vite trouvé le coupable :
Dans cette soirée de Berezina pour la gauche, un grand merci à Francois Hollande et Manuel Valls…#mercipourcesmoments
— François Lamy (@lamy_f) June 11, 2017
Mais Hollande ne panse pas que les plaies, il pense à aller de l’avant. « Il ne faut pas laisser croire qu’En Marche ! est un parti de gauche, il faut dire que, Macron, ce n’est pas la gauche et que, les sociaux-démocrates, c’est nous et pas lui », rapporte le volatile qui a fait passé ces quelques lignes à un traducteur « hollandais » : « On a tous compris que, comme Sarko en 2007, il voulait revenir et pensait déjà à 2022. »
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