Tenu responsable de licenciements, meurtres, infanticides, crises d’asthme, chansons de merde ou articles vains, Facebook occupe aujourd’hui espace public et esprits chagrins. Etat des lieux de l’angoisse.
Si 2 Français sur 3 font confiance à Facebook et considèrent les réseaux sociaux sans grand danger, alors 2 Français sur 3 n’ont pas encore lu cet article alarmiste et anxiogène. Revue de ce que l’on a reproché de pire au site de Mark Zuckerberg :
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Facebook pourrait mener au divorce
L’année dernière un cabinet d’avocat anglais soutenait que Facebook était responsable d’un divorce sur cinq en Grande-Bretagne. Ainsi, le directeur de Divorce-Online estimait que « la principale raison invoquée est la discussion un peu trop intime avec d’autres individus ». Carrément.
Facebook pourrait mener au meurtre
En mai 2008, un certain Edwards Richardson avait assassiné sa femme Sarah passée sur le site du statut de mariée à célibataire. Paul Bristol a lui été condamné à la prison à vie à Londres pour avoir tué son ex-compagne de plusieurs coups de couteau après que celle-ci ait publié des photos de son nouveau compagnon sur le réseau social.
Facebook pourrait mener à l’infanticide
[attachment id=298]En octobre dernier, une jeune mère de 22 ans plaidait coupable du meurtre de son enfant devant un tribunal de Floride. Circonstances du drame : celui-ci pleurait trop alors qu’elle jouait à FarmVille sur Facebook.
Facebook pourrait éventuellement provoquer des crises d’asthme
C’est la conclusion de médecins qui ont étudié le cas d’un jeune homme de 18 ans un peu déprimé après une rupture difficile. Le principal intéressé voyait son volume respiratoire baisser jusqu’à 20% lorsqu’il consultait le profil de son ex. « Facebook, et les réseaux sociaux en général, peuvent constituer une nouvelle source de stress psychologique, et aggraver l’état d’individus asthmatiques déprimés« , indiquaient alors les spécialistes. Tu m’étonnes.
Facebook pourrait justifier un licenciement
Fin novembre, le Conseil des prud’hommes de Boulogne-Billancourt jugeait fondé le licenciement de trois salariés qui avaient critiqué leur hiérarchie sur le réseau social au motif que leurs conversations étaient publiques et donc accessibles par plusieurs personnes. Chaud.
Facebook pourrait ruiner la vie d’un enfant à naître
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Selon une étude menée dans 10 pays occidentaux et reprise par CNN au début du mois d’octobre 82% des enfants de moins de 2 ans ont une présence en ligne malgré eux. Et certains enfants à naître ont même leur page Facebook. Hmhm.
Facebook pourrait mener à composer des chansons de merde
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