Avec deux expositions de photographes danois, la Maison du Danemark présente l’empreinte de la vie humaine sur la ville : du street-art sur les murs du monde entier jusqu’aux rencontres dans les rues de Paris. Skater, se rencontrer, se balader, faire du vélo, graffer… Toutes ces actions humaines façonnent l’espace urbain. C’est ce qu’ont voulu […]
Avec deux expositions de photographes danois, la Maison du Danemark présente l’empreinte de la vie humaine sur la ville : du street-art sur les murs du monde entier jusqu’aux rencontres dans les rues de Paris.
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Skater, se rencontrer, se balader, faire du vélo, graffer… Toutes ces actions humaines façonnent l’espace urbain. C’est ce qu’ont voulu montrer et célébrer deux photographes danois, lesquels ont promené leur objectif dans les villes du monde, à la recherche de ce qui anime une place, un mur, une rue, un monument…
La première artiste, Kirsten Winter, vit à Paris depuis les années 60. Régulièrement, elle part bourlinguer de Cape Town à Tel Aviv, en passant par Brooklyn et Aubervilliers, afin d’immortaliser les oeuvres de street-art. Qu’elles soient critique de la société, clin d’oeil à l’histoire de l’art, jeu avec l’architecture…
Pied de nez aux attentats
Le second, Jens Markus Lindhe, est connu au Danemark pour ses clichés précis et épurés de l’architecture. Avec l’exposition « Colours in the Grey zone », il croise photographie architecturale et photographie reportage. Un procédé destiné à présenter un Paris vivant et moderne. Tel un pied de nez aux attaques qu’a subi la capitale. Le titre de l’expo fait en effet référence au nom que les terroristes ont donné à l’espace commun : la zone grise. Ce lieu les insupporte parce qu’il est le point de rencontre et d’échange entre différentes cultures.
Jusqu’au 1er mai, expo « Printemps urbain, paradise lost ? », à la Maison du Danemark.
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