Mardi 4 août, deux puissantes explosions ont ravagé la capitale libanaise. Selon la Croix-Rouge, au moins 100 personnes sont décédées et 4000 autres ont été blessées.
Selon le Premier ministre Hassan Diab, les deux déflagrations seraient dues à l’explosion de 2 750 tonnes de nitrate d’ammonium – une substance entrant dans la composition de certains engrais mais aussi d’explosifs – stockées dans un bâtiment du port depuis six ans. La piste accidentelle est pour l’heure privilégiée.
Beyrouth a été ravagée par les deux explosions et les incendies qui ont suivi. (STR / AFP)Les déflagrations ont fait au moins 4 000 blessés selon la Croix-Rouge libanaise. (Marwan Tahtah / AFP)Une épaisse fumée noire a envahi la ville après les deux explosions. (STR / AFP)Les immeubles de la capitale libanaise ont tremblé à des kilomètres à la ronde le 4 août 2020. (Anwar Amro / AFP)Près du port où ont eu lieu les détonations, les dégâts sont considérables. (STR / AFP)Les médias libanais ont diffusé des images de personnes prises au piège sous les décombres, certaines ensanglantées, après les explosions massives. (Ibrahim Amro / AFP)Les vitres des immeubles et des voitures ont été brisées. Le souffle des explosions a été ressenti jusque sur l’île de Chypre, à plus de 200 km. (Patrick Baz / AFP)Des libanais attendaient d’être évacués du quartier de Mar Mikhael, à Beyrouth, le 5 août 2020. (PATRICK BAZ / AFP)Un homme blessé dans le quartier branché de Mar Mikhael, partiellement détruit à Beyrouth. (Patrick Baz / AFP)Les conséquences des explosions dans le port de Beyrouth au lendemain des explosions. (Anwar Amro / AFP)Une vue aérienne montre les dommages causés aux silos à grains du port de Beyrouth et à ses environs. (AFP)