Troisième volet de l’enquête lesinrocks.com/Rue89 sur l’industrie musicale française. Plusieurs jours après la promesse d’iTunes de supprimer ses DRM, le point sur la mort annoncée du CD, le combat des majors pour survivre, les nouveaux acteurs et la musique bientôt gratuite
Dans ce nouveau paysage musical, l’offre explose. Opérateurs télécoms, fabricants de téléphones (Nokia, Sony), fournisseurs d’accès à Internet, marchands de musique (Fnac, Virgin) et radios vendent de la musique sur Internet. Dans ce contexte, la question de la recommandation musicale est probablement le prochain défi de ces acteurs Web.
« En ce qui concerne la musique, en France, aucun médium sur Internet ne déplace les foules quand il dit qu’un disque est top. Les médias prescripteurs restent les journaux papiers classiques. Il manque un site comme Pitchfork, aux USA« , analyse Michel Pampelune, directeur de Fargo Records.
La place reste à prendre.
Photo: au Friedrichstadtpalast music hall de Berlin, le 14 janvier (Johannes Eisele/Reuters)
Par Isabelle Hanne et Nolwenn Le Blevennec
Deuxième volet ici
Premier volet ici
En partenariat avec
[attachment id=298]