Et si voter pour Marine Le Pen était un geste féministe ? Voici l’une des questions – polémiques – plaquées sur la table par Marc Fauvelle au cœur de sa matinale du 7 février. La réponse cinglante de la femme de lettres et philosophe Elisabeth Badinter n’a pas tardé. Présidente de la 43e édition du prix du Livre Inter, cette militante […]
Et si voter pour Marine Le Pen était un geste féministe ? Voici l’une des questions – polémiques – plaquées sur la table par Marc Fauvelle au cœur de sa matinale du 7 février. La réponse cinglante de la femme de lettres et philosophe Elisabeth Badinter n’a pas tardé. Présidente de la 43e édition du prix du Livre Inter, cette militante invétérée insiste au micro de France Inter sur la dangerosité de cette ascension : « C’est peut-être une victoire du féminisme, mais ce n’est pas une victoire de la démocratie« . Et la femme d’affaires de s’accaparer l’exemple d’Hilary Clinton afin de rappeler qu’ « on ne vote pas pour une femme parce que c’est une femme, si on est une femme qui vote. On vote pour quelqu’un qui incarne vos idées, vos intérêts, vos préférences. ».
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Une façon de répondre à la politicienne, qui au forum « Elle Sciences Po » de 2012 édifiait Elisabeth Badinter et Simone Veil en modèles personnels. Et une piqûre de rappel bienvenue pour ceux qui n’envisageraient pas les stratégies électorales de Marine Le Pen (autoproclamée « femme française libre« ), celle que Le Monde surnomme déjà « la féministe à la mémoire courte« …
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