Chaque semaine, Didier Porte commente l’actualité politique sur Médiapart, dans sa chronique “Médiaporte”. Ce lundi, c’était au tour de Robert Ménard, maire de Béziers soutenu par le FN, d’être chroniqué. Désireux de “distraire les biterrois en faisant des conneries“, avec des arrêtés qui, pêle-mêle, interdisent de cracher dans la rue ou d’étendre son linge entre […]
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Chaque semaine, Didier Porte commente l’actualité politique sur Médiapart, dans sa chronique « Médiaporte ». Ce lundi, c’était au tour de Robert Ménard, maire de Béziers soutenu par le FN, d’être chroniqué.
Désireux de « distraire les biterrois en faisant des conneries« , avec des arrêtés qui, pêle-mêle, interdisent de cracher dans la rue ou d’étendre son linge entre deux fenêtres, Ménard cherche simplement à attirer l’attention des médias parisiens, selon Porte, après avoir « mondanisé à la tête de « Reporters sans Frontières ». Le journaliste revient sur les récents panneaux d’affichage apparus à Béziers, « le plus gros succès de toutes les conneries imaginées par Ménard pour faire parler de lui« . Enfin, Didier Porte imagine les suites que pourrait avoir cette campagne d’affichage en clouant le maire au pilori : « C’est Goebbels qui aurait vu tous les films de Tarantino« .
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