Il y a comme un air de famille entre la défense de François Fillon dans le Penelopegate et celle de Richard Nixon en 1952, quand il se défendait d’accusations sur le financement de sa campagne électorale pour la vice-présidence des USA (discours connu sous le nom de “Checkers Speech”). La plate-forme audiovisuelle Brut en a fait la […]
Il y a comme un air de famille entre la défense de François Fillon dans le Penelopegate et celle de Richard Nixon en 1952, quand il se défendait d’accusations sur le financement de sa campagne électorale pour la vice-présidence des USA (discours connu sous le nom de « Checkers Speech »). La plate-forme audiovisuelle Brut en a fait la démonstration en vidéo : la défense de François Fillon ressemble comme deux gouttes d’eau à celle de Richard Nixon.
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Défense de François Fillon : il n’aurait pas un peu pompé sur Richard Nixon ? pic.twitter.com/lngghICk8F
— Brut (@brutofficiel) 6 février 2017
François Fillon n’a apporté aucune preuve contre les accusations dont il fait l’objet pour l’instant, mais il persiste à être candidat à la présidentielle. « Certains articles du Canard Enchaîné connaissent un grand retentissement, mais ils ne sont pas toujours suivis des répercussions auxquelles chacun pourrait s’attendre dans une réelle démocratie. Au mieux, on en reste à la surface des choses, même si l’onde de choc peut se faire ressentir longtemps », écrit ainsi Claude Angeli, rédacteur en chef du Canard pendant trente ans, dans un récent livre, Les Plaisirs du journalisme (Fayard).
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