Nicole Ferroni consacrait sa chronique ce 14 décembre à la guerre qui fait rage à Alep, la deuxième ville de Syrie, en passe d’être reprise totalement par le régime et ses alliés, au prix de nombreuses vies de civils. Après avoir rendu hommage au travail du journaliste citoyen syrien Hadi Alabdallah, elle a comparé sa description faite de […]
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Nicole Ferroni consacrait sa chronique ce 14 décembre à la guerre qui fait rage à Alep, la deuxième ville de Syrie, en passe d'être reprise totalement par le régime et ses alliés, au prix de nombreuses vies de civils.
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Après avoir rendu hommage au travail du journaliste citoyen syrien Hadi Alabdallah, elle a comparé sa description faite de la ville avec celle du Guide du routard. Conclusion : « La guerre avale toutes les couleurs et met du noir à la place.”
Elle a fini sa chronique en larmes, en évoquant les mots très émouvants de son père, qui a vécu des bombardements quand il avait 8 ans : « Tu vois, des fois, Nicole, on dit : le cannibalisme avant, c’était répandu, et maintenant les gens disent : ‘Les hommes se mangeaient, et on appelait cela du cannibalisme’. Eh ben un jour, peut-être, qui sait, la guerre sera si loin dernière l’humanité qu’on pourra dire : ‘les hommes se tuaient, et ils appelaient cela, la guerre.' »
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