Charline Vanhoenacker s’adapte à l’ambiance nationale: la chroniqueuse avait décidé d’installer un piquet de grève ce matin sur France Inter. Aidé de son comparse Guillaume Meurice, elle a “bloqué l’accès aux stocks de café”, puis organisé la “grève de l’humour”. Quitte à faire des jeux de mots foireux: “on a puisé dans les réserves stratégiques […]
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Charline Vanhoenacker s’adapte à l’ambiance nationale: la chroniqueuse avait décidé d’installer un piquet de grève ce matin sur France Inter. Aidé de son comparse Guillaume Meurice, elle a « bloqué l’accès aux stocks de café », puis organisé la « grève de l’humour ». Quitte à faire des jeux de mots foireux: « on a puisé dans les réserves stratégiques de Jean Roucas ». Puis « le mouvement se radicalise », et l’invité Dominique Seux est pris en otage. Le journaliste des Echos devra finalement lire quelques paroles de « L’internationale ». Les vrai-faux grévistes iront même jusqu’à se demander s’il faut « écrire sur les nibards » de Léa Salamé ou « couper le zgeg de Thomas Legrand ». Heureusement ils quitteront le studio, sans que les forces de l’ordre n’aient à intervenir.
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