Que se cache-t-il derrière les tapis rouges, poignées de mains et autre formalités diplomatiques, destinées à signer des contrats juteux pour l’économie du pays. Cash investigation mène l’enquête sur les conditions de ses transactions mirobolantes, dans une première partie diffusée le lundi 7 septembre, consacrée à l’Azerbaïdjan, “l’une des dictatures les plus répressives du monde”. […]
Que se cache-t-il derrière les tapis rouges, poignées de mains et autre formalités diplomatiques, destinées à signer des contrats juteux pour l’économie du pays. Cash investigation mène l’enquête sur les conditions de ses transactions mirobolantes, dans une première partie diffusée le lundi 7 septembre, consacrée à l’Azerbaïdjan, « l’une des dictatures les plus répressives du monde ».
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« Quel poids pèsent alors les droits de l’homme quand il s’agit de signer près de deux milliards d’euros de contrat ? » Elise Lucet et son équipe font la lumière sur les véritables enjeux économiques que constituent les relations diplomatiques avec des pays dictatoriaux et liberticides. Dans cette enquête entamée il y a un an et demi, lors du déplacement du président français en mai 2014, Elise Lucet interroge plusieurs personnalités comme « le député Thierry Mariani, proche du régime d’Ilham Aliyev et par ailleurs membre du conseil d’administration de « L’Association des Amis de l’Azerbaïdjan », une structure qui assure en France la promotion du pays, et soutenue financièrement par les autorités de Bakou ».
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