Depuis lundi, une nouvelle formule de l’examen du code de la route est en vigueur. Et autant dire que ceux qui l’ont passé avant peuvent s’estimer heureux. Depuis ce remaniement, les résultats sont en effet catastrophiques, puisque seulement 16 % des candidats l’ont obtenu, contre les 3/4 d’entre eux au premier passage auparavant. Le délégué […]
Depuis lundi, une nouvelle formule de l’examen du code de la route est en vigueur. Et autant dire que ceux qui l’ont passé avant peuvent s’estimer heureux. Depuis ce remaniement, les résultats sont en effet catastrophiques, puisque seulement 16 % des candidats l’ont obtenu, contre les 3/4 d’entre eux au premier passage auparavant.
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Le délégué interministériel à la sécurité routière, Emmanuel Barbe, interrogé par Europe 1, a admis des dysfonctionnements : « Nous avons ouvert trop d’examens pour permettre à plus de gens de passer le code, ça a pu ralentir le volet de la préparation. » Son seul conseil aux candidats consiste cependant à « attendre une semaine ou deux pour le passer, et un peu de formation en plus. »
« Quelles sont les raisons de l’attachement des conducteurs à la voiture ? »
Un comité est en effet chargé d’analyser les questions problématiques. Et elles sont nombreuses, comme celle citée par Jean-Michel Aphatie :
« Quelles sont les raisons de l’attachement des conducteurs à la voiture ? a) Liberté de déplacement ; b) Faible coût d’utilisation de la voiture ; c) Intimité ; d) Autonomie »
Tempête sous un crâne. Preuve de l’échec cuisant de cette nouvelle version de l’examen, à Chartres le taux de réussite est passé de 100 % à 0 %…
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