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En France, on a eu droit à cougar, tweet, cagole ou encore bisphénol, qui ont fait leur entrée dans le Robert 2012. C’est maintenant au tour de l’un des dictionnaires anglophone de référence, le Chambers Dictionary, d’accueillir pour sa nouvelle édition son lot de nouveaux mots plus ou moins barbares. 200, pour être précis.
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Parmi eux, ceux qui viennent d’Internet, évidemment, comme « cloud » ou « tweet », mais aussi ceux engendrés par la crise (double dip, soit double plongeon) ou le réchauffement climatique, avec « carbon offsetting » (compensation carbone). Côté musique, on trouve « dubstep », BFF (pour Best Friend Forever) ou encore « boyband » (il n’y a donc qu’en France qu’on utilise le mot « boysband » ?)
A noter : pour cette année, “Big Society” (le mot d’ordre de David Cameron) et “sexting” ont été rejetés. Trop jeunes, mais “candidats potentiels pour la prochaine édition”, selon l’éditeur Harrap’s.
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