Jusqu’au 23 mars au Centre National de la Danse à Pantin, Olivier Saillard poursuit sous un nouvel angle sa réflexion poétique sur l’univers de la mode, avec une performance qui questionne l’importance des petits gestes de création dans l’histoire de la mode.
Autant reconnu pour son travail d’historien, de commissaire d’exposition, que pour son œuvre à la fois poétique et critique sur le monde de la mode, Olivier Saillard revient avec une nouvelle performance au Centre National de la Danse.
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Après « Models Never Talk » en 2015, qui convoquait sur scène sept anciennes mannequins pour les faire sortir de leur mutisme et mettre en scène leurs souvenirs sur les créations qui les ont le plus marqué, et « Sur-exposition » en 2016 avec Charlotte Rampling et Tilda Swinton, qui proposait une profonde réflexion sur la surabondance des images contemporaines, l’actuel directeur du Palais Galliera poursuit son questionnement sur la mode et son histoire. Avec « Couture essentielle« , c’est un S.O.S qu’il lance au monde de la mode, sa frénésie et sa surconsommation.
En faisant intervenir des petites mains qui se sont révélés auprès de maisons célèbres, il met en scène l’importance des gestes quotidiens de créations, des paroles, des réflexions… « Le résultat est une collection de vêtements-souvenirs, d’objets, de vêtements et de corps-segments où l’histoire de la mode officielle mais aussi intime et quotidienne agit comme un matériau de création », indique le dossier de presse.
Jusqu’au 23 mars, Centre national de la danse de Pantin
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