La première édition du Salon de la mort se tient, du vendredi 8 au dimanche 10 avril, au Carrousel du Louvre. Des entreprises de pompes funèbres traditionnelles, des testaments numériques ou encore des cercueils en papier recyclé… On y trouve l’ensemble des services « ante mortem, mortem et post mortem ».
Dix euros l’entrée, cinq en tarif réduit et gratuit pour les donneurs de corps. Le premier Salon de la mort cherche à dédramatiser les discours autour de la faucheuse, sujet souvent tabou.
Comme pour n’importe quelle autre thématique, les organisateurs, Jean-Pierre Jouët et Jessie Westenholz, créateurs de la Fiac (Foire internationale d’art contemporain), du Salon du livre ou encore du Salon nautique, rassemblent pendant trois jours, au Carrousel du Louvre, l’ensemble des professionnels gravitant autour de la mort.
Le public est convié à venir aborder la mort de façon sérieuse (conférence, assurances, pompes funèbres…) ou détendue (têtes de mort en chocolat, œuvres d’art, essais de cercueils…). Morceaux choisis.
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Geoffrey Le Guilcher