Un attentat suivi d’une fusillade ont fait « au moins 90 morts », selon la police, ce vendredi en Norvège.
Vers 15h00, l’explosion d’une voiture piégée dans le quartier des ministères, à Oslo, a ravagé le siège du plus grand journal populaire norvégien. Les bureaux du Premier ministre ont également été touchés. Il y aurait sept morts et deux blessés selon la police. Le Premier ministre Jens Stoltenberg n’était pas à son bureau au moment de l’explosion. Plusieurs autres bâtiments ministériels ont été endommagés.
Un peu plus tard, un homme déguisé en policier a ouvert le feu sur la foule lors d’un meeting des jeunesses travaillistes à Utoyea, dans la grande banlieue d’Oslo, où devait initialement se rendre le Premier ministre. Le tireur aurait été arrêté par la police, selon la télé norvégienne.
Le commissaire de police Sveinung Sponheim a déclaré à la télévision publique NRK que les éléments postés par le suspect sur Internet laissent penser qu’« il a certains traits politiques penchant vers la droite et antimusulmans mais il est trop tôt pour dire si cela a été un motif pour son geste ». Le bilan actuel de la fusillade est de 84 morts.
Mis à jour le 23 juillet à 10h00.
Un attentat suivi d’une fusillade ont fait « au moins 90 morts », selon la police, ce vendredi en Norvège.
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Vers 15h00, l’explosion d’une voiture piégée dans le quartier des ministères, à Oslo, a ravagé le siège du plus grand journal populaire norvégien. Les bureaux du Premier ministre ont également été touchés. Il y aurait sept morts et deux blessés selon la police. Le Premier ministre Jens Stoltenberg n’était pas à son bureau au moment de l’explosion. Plusieurs autres bâtiments ministériels ont été endommagés.
Un peu plus tard, un homme déguisé en policier a ouvert le feu sur la foule lors d’un meeting des jeunesses travaillistes à Utoyea, dans la grande banlieue d’Oslo, où devait initialement se rendre le Premier ministre. Le tireur aurait été arrêté par la police, selon la télé norvégienne.
Le commissaire de police Sveinung Sponheim a déclaré à la télévision publique NRK que les éléments postés par le suspect sur Internet laissent penser qu’« il a certains traits politiques penchant vers la droite et antimusulmans mais il est trop tôt pour dire si cela a été un motif pour son geste ». Le bilan actuel de la fusillade est de 84 morts.
Mis à jour le 23 juillet à 10h00.
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