Alors que Manuel Valls met en doute la campagne menée par Benoît Hamon et “comprend” ceux qui au PS préfèrent soutenir Emmanuel Macron, le candidat d’En Marche ! continue de ratisser large. Après les ralliements de François de Rugy et de François Bayrou, il entend trouver de nouveaux soutiens, à gauche comme à droite. Mais surtout […]
Alors que Manuel Valls met en doute la campagne menée par Benoît Hamon et « comprend » ceux qui au PS préfèrent soutenir Emmanuel Macron, le candidat d’En Marche ! continue de ratisser large. Après les ralliements de François de Rugy et de François Bayrou, il entend trouver de nouveaux soutiens, à gauche comme à droite. Mais surtout à droite.
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Jérôme Dubus, élu LR de Paris : « Celui qui est capable de réformer la France, c’est Macron ! » https://t.co/h9wKLg4lNY par @maelthierry pic.twitter.com/JaFXg73kZJ
— Le Nouvel Obs (@Le_NouvelObs) March 1, 2017
Le Canard enchaîné révèle aujourd’hui que le candidat en vogue dans les sondages téléphone régulièrement à Nathalie Kosciusko-Morizet, Xavier Bertrand et Christian Estrosi. Selon le Canard, le but de ces coups de fil est surtout de leur affirmer leur importance à venir dans l’hypothèse où il parviendrait à remporter l’élection, sans pour autant que cela ne se traduise forcément par une promesse de poste au gouvernement.
Des clins d’œil bien accueillis
Et certains ne seraient pas hostiles à ces petits clins d’œil de sympathie. Nathalie Kosciusko-Morizet, dont François Fillon a fait son héritière pour les législatives, a pourtant soutenu le candidat LR au milieu de la tempête. Mais en novembre dernier, celle qui était candidate à la primaire de la droite et du centre s’amusait même dans un clip vidéo de la reprise de ses idées par Emmanuel Macron avec ce slogan : « N’attendez pas la copie, votez pour l’originale« . Si la solidarité politique l’oblige à soutenir son candidat, la proximité idéologique est indéniable entre le candidat centriste et NKM.
Cher @EmmanuelMacron, merci pour votre soutien à mes idées✌🏼 pic.twitter.com/qet2IKQUE1
— N. Kosciusko-Morizet (@nk_m) November 17, 2016
Xavier Bertrand et Emmanuel Macron se sont déjà opposés
Xavier Bertrand s’était retrouvé lui opposé à Emmanuel Macron sur la question des migrants à Calais. Encore ministre de l’Economie, il avait menacé les Britanniques de ne plus respecter le traité du Touquet, qui obligeait la France à retenir à Calais les migrants qui souhaitaient se rendre en Grande-Bretagne, si jamais le Brexit était voté. Xavier Bertrand, président de la région Hauts-de-France, avait alors moqué le rétropédalage du ministre, qui était revenu sur ses propos deux mois plus tard.
https://twitter.com/OneRadex/status/747428887085330432
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