En faisant, comme chaque matin ma tournée des popotes sur le net, quelle ne fut pas ma surprise de tomber sur une interview d’Anne Hidalgo en home page de la bible éco de tous les modeux de la planète : le très respectacle Women’s Wear Daily aka WWD. Posant tout sourire dans une robe Tour Eiffel, […]
En faisant, comme chaque matin ma tournée des popotes sur le net, quelle ne fut pas ma surprise de tomber sur une interview d’Anne Hidalgo en home page de la bible éco de tous les modeux de la planète : le très respectacle Women’s Wear Daily aka WWD. Posant tout sourire dans une robe Tour Eiffel, la candidate PS à la mairie de Paris entendait bien consolider son statut d’amie de la mode et des jeunes créateurs en devenir- et couper, si possible, l’herbe sous le pied d’ NKM.
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L’article attribue ainsi à Hildago un «high fashion quotient », un bon gros quotient mode : il y a quelques mois, Hildalgo avait en effet crée le buzz en portant un tee-shirt Carven dont l’imprimé représentait la carte de Paris, lors de son passage au Grand Journal.
Allure discrète, « normale » : le magazine américain juge le style de la candidate, qui affectionne les jeunes créateurs en accord avec l’image que souhaite projeter le parti socialiste.. Dans l’interview, Hidalgo revient sur son enfance, son ADN mode donné par une mère couturière et son intention de continuer à mettre Paris au centre de la mode, et se jette deux trois fleurs aux passages. « Avec le vélib, nous avons prouvé que Paris était capable de réinventer le lifetstyle urbain. Remettre Paris en mouvement a boosté le secteur du luxe, attirant des acheteurs et des designers. Dans les années 2000, Paris était en perte de vitesse, encaissant les montées de New York et Londres« . Anne Hildago explique sa ferme intention, si elle est élue, de transformer la fashion week en un rendez vous clé pour tous les Parisiens, et d’impliquer toutes les écoles, musées, théâtres etc… Elle caresse enfin l’idée, telle une Michele Obama, d’apporter son soutien aux designers en portant leurs créations, en cultivant un style sobre, loin du bling-bling : « Je ne suis pas un mannequin, avant tout une élue », précise-t-elle.
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