Un nouvel outil, LikeToKnow.it, permet d’acheter les articles photographiés sur Instagram, apportant une nouvelle source de revenus aux marques, magazines, blogueurs et autres trendsetters. Une opportunité intéressante pour ces derniers, qui pourrait cependant poser des problèmes éthiques. Un marché immense s’ouvre pour les comptes de mode les plus suivis d’Instagram, dont les photos montrent des vêtements parés de […]
Un nouvel outil, LikeToKnow.it, permet d’acheter les articles photographiés sur Instagram, apportant une nouvelle source de revenus aux marques, magazines, blogueurs et autres trendsetters. Une opportunité intéressante pour ces derniers, qui pourrait cependant poser des problèmes éthiques.
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Un marché immense s’ouvre pour les comptes de mode les plus suivis d’Instagram, dont les photos montrent des vêtements parés de leurs plus beaux atours.
Grâce à LikeToKnow.it, Vogue peut désormais monétiser ses 4 millions d’abonnés, et il en est de même pour les 2,7 millions qui suivent le site de shopping en ligne Asos, ainsi que pour les 866 000 internautes assidus de la blogueuse Leandra Meline.
L’outil a été lancé en 2014 par RewardStyle, une plate-forme en ligne qui permet aux sites de mode de toucher une commission sur les produits qu’ils présentent. Sur Instagram, il leur suffit d’insérer l’URL liketk.it en légende de leurs photos pour permettre aux internautes qui likent la publication de recevoir le lien du produit par email, s’ils se sont inscrits auparavant sur www.liketoknow.it. Et si la transaction se conclut par un achat, jusqu’à 20% du prix de l’article est reversé au diffuseur du lien d’après Kaetlin Andrews, porte-parole de RewardStyle.
Après avoir été principalement utilisé par les blogueurs, RewardStyle a annoncé hier que l’outil se mettait désormais au service d’une trentaine de distributeurs en ligne dont Moda Operandi, Asos et Urban Outfitters.
L’opportunité est intéressante pour qui est largement suivi sur Instagram, car LikeToKnow.it permet de toucher une commission sur les ventes des produits diffusés via leur compte. Marques et distributeurs donc, mais aussi magazines, blogueurs et autres “influenceurs” peuvent en profiter. Mais ce n’est pas sans poser de questions éthiques pour ces derniers, dont l’objectivité pourrait être quelque peu limitée par ces nouvelles perspectives de profit.
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