Zimbabwé, 2013. Dans son dernier rapport sur la corruption mondiale, Transparency International estime que 62% des habitants du Zimbabwé, l’un des pays les plus pauvres d’Afrique, ont payé des pots-de-vin l’année passée. Impossible pour les Zimbabwéens d’accéder aux services minimum de santé, de sécurité ou d’éducation, sans devoir en soudoyer les représentants. Dernier exemple en […]
Zimbabwé, 2013. Dans son dernier rapport sur la corruption mondiale, Transparency International estime que 62% des habitants du Zimbabwé, l’un des pays les plus pauvres d’Afrique, ont payé des pots-de-vin l’année passée. Impossible pour les Zimbabwéens d’accéder aux services minimum de santé, de sécurité ou d’éducation, sans devoir en soudoyer les représentants.
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Dernier exemple en date, et qui pourrait ressemble à une fausse news du Gorafi : un hôpital local a instauré une taxe sur les femmes enceintes. Chacune d’entre elles, au moindre cri, doit s’acquitter de 5 dollars de dédommagement.
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