François de Roubaix Anthologie vol.2 (Play-time / Wagram) Le compositeur d’inoubliables B.O. de polars français seventies (et du générique de Pépin la bulle !), idolâtré par Air et les DJ de la French Touch, est l’objet d’une passionnante anthologie dont c’est déjà le second volet. 35 titres au programme, dont plusieurs classiques (Dernier domicile connu, […]
François de Roubaix
Anthologie vol.2
(Play-time / Wagram)
Le compositeur d’inoubliables B.O. de polars français seventies (et du générique de Pépin la bulle !), idolâtré par Air et les DJ de la French Touch, est l’objet d’une passionnante anthologie dont c’est déjà le second volet. 35 titres au programme, dont plusieurs classiques (Dernier domicile connu, Jeff) et un nombre impressionnant de raretés, à commencer par une chanson totalement inédite, Ecoute le temps, interprétée par une Bardot craquante en 71.
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Ennio Morricone
La Donna invisibile
(Dagored,abraexp@tin.it)
On savait, pour en avoir entendu certains thèmes sur les compilations Mondo Morricone, que La Donna invisibile figurait parmi les meilleurs scores easy-pop gravés dans les sixties par le maestro italien. Confirmation avec cette réédition luxueuse de la partition intégrale agrémentée d’inédits, dont deux versions alternatives du classique des surboums 69 La Moda. Trois autres B.O. du même tonneau sont disponibles dans cette série.
The Association & Charles Fox
Goodbye, columbus
(Warner, import japonais)
Entre les adorables chansons ensoleillées de The Association et les somptueux thèmes orchestrés de Charles Fox (notamment A moment to share, à rendre jaloux Bacharach lui-même), cette B.O. de 1969 est un investissement sûr pour les amateurs de soft rock. Un peu chère néanmoins, à moins d’avoir un correspondant Nippon.
The Inner Thumb
Soul Ecstasy
(Emperor Norton, www.emperornorton.com)
Une B.O. très rare de 72 exhumée parmi la foisonnante production Blaxploitation. Evidemment funky et moite à souhait, elle fut exécutée par un groupe monté pour la circonstance avec les meilleurs groovemen de Philadelphie, Chicago et New York. A noter, le morceau phare extrait en single dont le titre est déjà un poème en soi : Citroens’n’sitars.
Porno Sonic
Unreleased 70 s porno music
(J-Bird Records,www.pornosonic.com)
Malheureusement, ce ne sont pas les enregistrements originaux mais des reprises un rien plombées et bourratives. L’intérêt réside surtout dans les titres des films en question (Spiderpussy, Dick Dagger s big dick dilemma ou le sans équivoque A happy ass) et dans les commentaires salaces que le nabot hardeur Ron Jeremy et quelques copines chaudes comme des baraques à frites distillent entre chaque morceau. Prudence, ça rend sourd.
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