Dans ce film considéré comme l’un des plus faibles de son auteur, on retrouve pourtant la plupart de ses obsessions : l’incommunicabilité (le vieil auteur de BD américain préférerait rentrer à la maison plutôt que d’avoir à supporter cet intello qui le vénère), la mort (de la bande dessinée, mais aussi du vieil homme qui […]
Dans ce film considéré comme l’un des plus faibles de son auteur, on retrouve pourtant la plupart de ses obsessions : l’incommunicabilité (le vieil auteur de BD américain préférerait rentrer à la maison plutôt que d’avoir à supporter cet intello qui le vénère), la mort (de la bande dessinée, mais aussi du vieil homme qui veut vite revoir sa fille avant l’échéance), la maladie (jusqu’au plan gangrené par les phylactères), la nuit… Dans un Paris tel que le fantasment les Américains débarque un Américain artificiel avec dentier et UV. Ainsi la clé du film est-elle peut-être dans la scène du bal masqué : et si nous portions tous un masque ?
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