Toujours un bonheur quand le rockab-à-papa se fait peler la banane par l’impertinence de mouflets : ça ne dure que quelques secondes, mais il fait bon entendre les Dirty Beatniks démarrer leur album en flinguant ce vieux garçon maniaque et incontinent. Encore faudrait-il offrir à un intégrisme une alternative un peu plus sexy que cette […]
Toujours un bonheur quand le rockab-à-papa se fait peler la banane par l’impertinence de mouflets : ça ne dure que quelques secondes, mais il fait bon entendre les Dirty Beatniks démarrer leur album en flinguant ce vieux garçon maniaque et incontinent. Encore faudrait-il offrir à un intégrisme une alternative un peu plus sexy que cette autre orthodoxie la techno peut donc être aussi bornée et frigide que l’intégrale de Crazy Cavan. Une fidélité à la ligne navrante du parti bpm contrôlés par huissier, nappes de synthé réglementaires, groove xéroxé qui avait pourtant épargné jusqu’ici le label Wall Of Sound, généralement plus libertaire. Ils ont beau essayer de marquer Renegade Sound Wave à la culotte sur More danger, les Dirty Beatniks ignorent tout des dangers (hormis sur le fameux So vou de mulher), fonctionnaires du beat, émissaires de la house du Vatican.
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