Antics, le second album des New-Yorkais Interpol, sortira le 27 septembre, deux ans après Turn on the Bright Lights.
Nous savions avant même de sortir Turn on’ que ce serait difficile d’écrire une suite, explique Daniel Kessler, guitariste du groupe. On savait qu’on aurait du mal à trouver le temps et la concentration pour continuer à écrire. On s’y était préparés, on a donc écrit sans peur, sans pression. »
Le nouvel album a été enregistré dans les mêmes studios que le premier, dans le Connecticut, avec le même ingénieur du son (Peter Katis), et eux-mêmes comme producteurs. « Nous savions parfaitement où les chansons devaient aller, comment elles devaient sonner, poursuit-il. Personne pour nous donner des conseils, pour terminer des morceaux à moitié écrits. Nous sommes de toutes façons du genre à tout contrôler. »
Daniel décrit Antics comme ayant « un plus gros son que Turn on’ : les morceaux ont des textures plus riches, il y a plus de moments chauds, plus de diversité. » Le groupe aura prochainement l’honneur d’un adoubement par leurs parrains musicaux de Cure, lors de Curiosa, tournée-festival des Anglais, qui aura lieu du 24 juillet au 29 août aux Etats-Unis. Interpol devrait venir jouer en France à l’automne.
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