Devenu l’un des chouchous de millions de cœurs, The National revient avec « Trouble Will Find Me » : retour sur leur discographie, avec l’intégralité des critiques publiées ici depuis leurs débuts en 2001.
THE NATIONAL (2001)
Dès le premier album éponyme des garçons de l’Ohio, paru en 2001, le groupe prend sa place, quelque part entre un folk aigu, un rock rutilant, des chansons écrites à la fois pour le moelleux des ondes FM et pour le confort des foyers sensibles, à la fois pour la scène, où les élégants excellent déjà, et pour l’intimité, pour les joies simples et les noirceurs complexes. Les cœurs flanchent, et ce n’est qu’un début.
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SAD SONGS FOR DIRTY LOVERS (2003)
« The National est la preuve vivante qu’une solide instruction ne nuit pas à l’affirmation d’une vraie personnalité. (…) »
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CHERRY TREE (2004)
« Dans quelques décennies, on se réfèrera peut-être aux enregistrements de The National pour rappeler ce qui fit la grandeur du folk-rock américain. Depuis leur deuxième album, Sad Songs for Dirty Lovers (2003), ces cinq New-Yorkais œuvrant en marge de la hype se sont juchés au point d’équilibre parfait entre orthodoxie et invention. (…) »
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ALLIGATOR (2005)
« The National est un sacré bon groupe d’adult-rock. En utilisant cette appellation peu flatteuse, généralement réservée aux groupes sans sel qui font le beurre des grosses FM, on prend évidemment le risque de ternir la réputation de ce quintette fort estimé par la critique et soutenu par un fan-club de plus en plus nourri. (…) »
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BOXER (2007)
« Le ministre Brice Hortefeux connaît-il l’identité de The National ? A-t-il déjà frissonné à l’écoute de la voix de son mystérieux chanteur, rêvé éveillé en entendant ses mélodies douces ? Depuis sept ans déjà, le quintet de Matt Berninger sévit dans l’intimité, loin des foules et des stades. (…) »
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A SKIN, A NIGHT / THE VIRGINIA EP (2008)
« Avec ou sans images, le rock racé de New-Yorkais ennemis de la frime. »
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HIGH VIOLET (2009)
« Grand retour de The National : sur des chansons d’une beauté foudroyante, le rock ronge ses angoisses, crache sa bile et se fait un sang d’encre. »
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