Un soutien-gorge qui détecte les émotions de celles qui le portent, c’est possible. Mais ne vous emballez pas trop vite : l’utilisation conseillée de cet objet n’a rien d’admirable. Des chercheurs de l’Institut de recherche Microsoft et de l’Université de Rochester ont rédigé une étude, très sérieuse, intitulée “Food and Mood : Just-in-Time support for […]
Un soutien-gorge qui détecte les émotions de celles qui le portent, c’est possible. Mais ne vous emballez pas trop vite : l’utilisation conseillée de cet objet n’a rien d’admirable. Des chercheurs de l’Institut de recherche Microsoft et de l’Université de Rochester ont rédigé une étude, très sérieuse, intitulée « Food and Mood : Just-in-Time support for emotional eating« (soit « la nourriture et l’humeur : un soutien immédiat pour éviter de manger sous l’effet de l’émotion »).
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Ils y développent un mécanisme étrange, qui permet de contrôler les battements du coeur des femmes grâce à des capteurs sensoriels disposés à l’intérieur du soutien-gorge. Lorsque la personne concernée commence à stresser, les capteurs envoient directement un signal via une application à son l’iPhone qui lui dit de ne pas céder à la panique, et ne pas… se ruer sur la nourriture !
Passons l’idée étrange selon laquelle les femmes seraient les seules concernées par le « grignotage compulsif » (et par conséquent, les seules sauvées du méchant gras grâce à cette étude), ce projet est également un pas de plus vers la culpabilisation excessive des gens – pour la plupart en bonne santé – envers la nourriture.
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