Si Ariel Pink était un jeu, il serait un Rubik’s Cube écrivait en novembre dernier notre collaborateur Francis Dordor dans un article intitulé Ariel Pink : maboul, génie ou escroc ? Dans Vagabond, court métrage réalisé par l’australien Johann Rashid, dans lequel la pop star américaine se glisse dans la peau d’un chauffeur de taxi, […]
Si Ariel Pink était un jeu, il serait un Rubik’s Cube écrivait en novembre dernier notre collaborateur Francis Dordor dans un article intitulé Ariel Pink : maboul, génie ou escroc ? Dans Vagabond, court métrage réalisé par l’australien Johann Rashid, dans lequel la pop star américaine se glisse dans la peau d’un chauffeur de taxi, il semblerait que la réponse soit: un génie.
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Réalisé pour le Sugar Mountain, festival de musique et d’art de Melbourne qui aura lieu le 24 janvier, le film de cinq minutes met en scène Pink au volant d’un taxi vadrouillant dans les rues de L.A en philosophant. Celui qu’Azelia Banks surnomme « Stink Pink » (Pink la puanteur), ramasse plusieurs passagers dont son amie Samantha Urbani ou son bassiste Tim Koh auxquels il livre des analyses et questions psychanalytiques plutôt déjantées du type « you seem like a troubadour » ou encore « are you a hooker (prostituée occasionnelle)? ». Bref, du grand Ariel Pink.
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