La pochette ressemble à du vomi de vieux hippie étalé, façon landscape art, sur un trottoir de Haight Ashbury. Le disque est aussi bien : on croirait le Paranoid de Black Sabbath repris par les Kings Of Leon à la Haçienda de Manchester un soir de distribution gratuite d’acides. Soit du psychédélisme féroce et groovy […]
La pochette ressemble à du vomi de vieux hippie étalé, façon landscape art, sur un trottoir de Haight Ashbury. Le disque est aussi bien : on croirait le Paranoid de Black Sabbath repris par les Kings Of Leon à la Haçienda de Manchester un soir de distribution gratuite d’acides.
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Soit du psychédélisme féroce et groovy qui a mis plus d’un an à venir d’Australie : le temps de remonter aux 70 s, de plonger dans le whiskey de Lemmy Mötörhead, de tenter du rafting dans les veines de Led Zep et de faire des farces au vieux blues (lui faire prendre du LSD en lui disant que c’est du Viagra, l’inviter à un dîner de cons avec Spinal Tap et The Darkness’).
Entre les Canadiens de Wolf Parade et ces Australiens de Wolfmother, 2006 sera résolument l’année du loup.
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