Le fessier ferme et musclé, ce n’est pas qu’une préoccupation féminine. Et si ces dames multiplient les régimes expérimentaux et les séances de fitness, Jeff Vickers, un américain de 46 ans, a une toute autre technique. Comme l’explique un article paru le 24 juillet dernier dans le NY Times, cet homme marié et père de […]
Le fessier ferme et musclé, ce n’est pas qu’une préoccupation féminine. Et si ces dames multiplient les régimes expérimentaux et les séances de fitness, Jeff Vickers, un américain de 46 ans, a une toute autre technique.
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Comme l’explique un article paru le 24 juillet dernier dans le NY Times, cet homme marié et père de quatre enfants, propriétaire d’une entreprise de construction, a eu une idée radicale pour modeler ses fesses qu’il qualifiait « d’inexistantes ». Son inspiration, il l’a trouvée auprès du docteur Constantino G. Mendieta, un chirurgien plastique de Miami qui a publié un ouvrage sur « L’art de la sculture glutéale » (comprendre : la région fessière). De cette lecture, a découlé une véritable révélation pour Jeff : pourquoi ne pas injecter de la graisse localisée dans l’abdomen directement dans les fesses, pour leur donner plus de volume. Tout simplement. « Ils prennent le gras là où on ne le veut pas, pour le mettre la où on aimerait qu’il soit », résume-t-il au New York Times. Le but de l’américain ? Avoir assez de fesses pour lui permettre de faire tenir correctement ses pantalons. Les moqueries de ses collègues de travail sur son fessier plat, Jeff Vickers n’en veut plus (les hommes, entre eux, de vraies garces).
Selon des statistiques officielles, les hommes représenteraient plus de 6% des opérations chirurgicales « d’augmentation fessière », pourcentage en constante augmentation. Jeff Vickers n’est pas un cas isolé. Dans une moindre mesure, mais dans une même démarche, la vente des sous-vêtements pour hommes qui galbent le fessier se porte de mieux en mieux. Les femmes n’ont pas le monopole, sur les fesses bombées.
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