Joyeuse et libérée, la pop
douce-amère d’un duo
franco-hollandais (?) : critique et écoute.
La biographie est romanesque, sans doute mensongère et pleine de demis : demi-frère et demi-soeur, moitié français, moitié hollandais. Pas étonnant que cette pop joue elle aussi entre deux mondes, entre deux eaux, en pleine utopie, à la fois mélancolique et sautillante.
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Derrière son mini-classique Rastakraut, à la torpeur communicative, le duo parisien sait aussi hausser le ton dans des chansons qui modernisent considérablement la pop-folk, un peu comme des Moldy Peaches moins cancres, moins dissipés.
Car loin de les saboter, les Narcoleptic Dancers signent de vrais tubes, comme le formidable Life Goes on, qui n’attend plus que la BO qui fera de lui une star. Sur la pochette, le duo pastiche les bed-ins de Lennon et Ono. On nous pardonnera donc d’emprunter à John & Yoko un titre de chanson en verdict final : Well Well Well.
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