Pas certain que l’on trouve un tube plus ravageur en 2011. Ni en 2012. Critique et écoute.
Bientôt dans toutes les travées stadières du monde, à la mi-temps d’un PSG-Rennes ou pendant un temps mort des Boston Bruins contre les Canadiens de Montréal, dans les boums survoltées et la salle d’attente de votre ostéopathe, dans la tête de votre petite soeur comme dans les jambes de votre mamie : Lonely Boy peut, d’emblée, prétendre au trône de Seven Nation Army, l’hymne absolu et universel des White Stripes.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
Riff sanglant sur suspensions élastiques, électricité vintage et rondeurs modernes (merci Danger Mouse, alchimiste décidément surdoué), refrain “wohohoho” plus collant que le sparadrap du capitaine Haddock et vidéo qui a fait le tour de Facebook en 80 secondes, Lonely Boy est une apocalypse pour le libre arbitre : tout le monde succombe, bave aux lèvres et zygomatiques crampés. Le plus beau ? L’album des Américains, à venir en décembre, ne comporte que des Lonely Boy en puissance.
[inrockstv 72304]
{"type":"Banniere-Basse"}