Fusion nonchalante et ultracool de hip-hop et de rock. Champagne pour tous : critique et écoute.
Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. La maxime est applicable à la musique. Exemple avec Mark Gajadhar, venu de Seattle en passant par des plantations de ganja, des chambres froides, des laboratoires de recherche ou des hamacs sur la plage.
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On le connaissait batteur d’un sextet de posthardcore efféminé (The Blood Brothers), on le retrouve cinq ans après une regrettable séparation producteur d’un trio de hip-hop fusionnant le groove pépère de Cannibal Ox, la malice du regretté DC Basehead et les superpositions pop de TV On The Radio.
Si le mot n’était pas frappé du sceau de l’infamie et galvaudé par des fâcheux, on parlerait de fusion. Un genre de fusion à chaud, à froid, à la coule, à la dure.
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