Pétillante, la pop impeccable de Français soigneusement parrainés. Critique et écoute.
Longtemps, on a entendu leur nom : les Rennais Manceau, protégés et produits par Tahiti 80, seraient sinon le plus chouette secret de la pop française, du moins de futurs champions du pays. La rumeur se concrétise aujourd‘hui avec un premier album qui pétille, crépite et scintille. Comme leurs parrains, les Français ont décidé de ne pas trancher entre avenir et nostalgie, hier et demain. Leur pop est moderne et chargée d‘histoire, parfaitement nouvelle mais référencée.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
Outre l‘imparable premier single – l’emballant Full Time Job –, on pense à des Zombies qui auraient atterri dans un studio berlinois avec Phoenix aux manettes (Lady Killer), à des Fleet Foxes chantant pieds nus dans la campagne rennaise (Love That Never Was). Surtout, on décèle dans chaque couplet une véritable exigence mélodique (Grandma, Little by Little). Comme Tahiti 80, Manceau sort également son album en Asie. Nul doute que le groupe sera big in Japan d’ici la fin de l’année.
{"type":"Banniere-Basse"}