Confessions sans concessions d’un rappeur français gonflé. Critique et écoute.
Réputé pour ses saillies verbales sur les sessions Didaï à la prod, le Français Rimcash dégaine un premier album pétri d’alcool et de rap, mais aussi d’une forme de retour sur soi, de recul bienvenu. Alors qu’on le connaissait sur le terrain de la rime pure, quitte à faire l’impasse sur le sens, il révèle ici une belle lucidité, à travers les touchants Quelle époque ou Confessions d’un sale con. Moins drôle, moins hâbleur qu’à son habitude, il livre un disque court et sans redites, équilibré entre intimité (Vie d’ordure) et festins rappés (Open bar).
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