Au printemps morose, des Canadiens opposent la joie. Critique et écoute.
Les jeunes gandins de Young Rival viendraient de la banlieue de Toronto. En vérité, ces garçons-là semblent venir d’une contrée imaginaire sur laquelle rayonnerait le soleil nuit et jour, et qui réunirait autour d’eux Spinto Band et Fountains Of Wayne. Comme eux, Young Rival agence une pop rieuse et psychotrope, qui ne connaît ni le spleen, ni la crise et évoque par moments des Strokes sous gaz hilarant qui feraient le poirier avec Supergrass (Lost, Valerie). C’est quand le bonheur ?
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
{"type":"Banniere-Basse"}