Le folk aérien d’un disciple français d’Elliott Smith. Critique et écoute.
Dans les remerciements de ce premier album, on note un grand oubli : le soleil. Encouragé par Barbara Carlotti, cet esthète français fait prendre l’air à sa pop de chambre. Ce n’est pas un hasard s’il met en musique Apollinaire ou s’il se planque derrière un pseudo emprunté à Balzac : Athanase Granson est un mélodiste lettré.
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Il a longtemps enfoui ses mélodies dans des malles à trésors, par discrétion et par modestie. Enfin sorties de leur tanière pour passer un été radieux, ces pop-songs érudites, héritées d’Elliott Smith, seront parfaites pour rêvasser dans un hamac.
Concert le 13 septembre à Paris (Trois Baudets)
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