Du 11 juillet au 3 septembre, la Bibliothèque nationale de France célèbre l’écrivain Julien Gracq, figure marquante du XXe siècle.
Envie de (re)découvrir Julien Gracq ? Rendez-vous à la Bibliothèque nationale de France, du 11 juillet au 3 septembre, pour une exposition inédite célébrant l’auteur. Figure marquante du XXe siècle, ce dernier a légué à la BnF (il est mort en 2007) l’ensemble de ses manuscrits (environ 15 000 pages), qui représente la principale ressource de cette présentation aux côtés de photographies, de gravures, d’articles et de ses cahiers d’écolier.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
Une centaine de pièces commentée par des proches ou des expert·es de l’auteur, comme les écrivains Pierre Bergounioux et Aurélien Bellanger, ou encore la pianiste Anne Queffélec. On retrouve parmi ces pièces les copies autographes d’Au château d’Argol (1938), mais aussi des textes encore inédits, et d’autres ayant déjà été publiés sous les titres Manuscrits de guerre (2011), Terres du couchant (2014), Nœuds de vie (2021) et La Maison (2023). “L’exposition est conçue comme une introduction à l’œuvre de Gracq et voudrait inciter à rouvrir ses livres”, précise la BnF dans son communiqué de presse.
Julien Gracq, connu pour ses fortes valeurs et sa désinvolture face à l’opinion du grand public, avait refusé le prix Goncourt en 1951 pour son roman Le Rivage des Syrtes. Tout au long de sa carrière, l’auteur a cantonné son œuvre à trois impératifs : la liberté, la qualité et l’intégrité.
Julien Gracq : La forme d’une œuvre, du 11 juillet au 3 septembre à la BnF, Paris
{"type":"Banniere-Basse"}