Réflexion très séduisante sur la chanson et le silence. Critique et écoute.
Paraissant chez Brocoli, label parisien tout dévoué à la cause des musiques non alignées, cet album, conçu en grande partie au Japon (d’où son titre), constitue le deuxième segment d’une trilogie amorcée en 2010, fondée sur “la déconstruction du format chanson, aux confins du silence”. De fait, on ne trouve ici nulle trace de couplets ou refrains, la voix de l’auteur n’apparaissant elle-même que par intermittence. S’élevant sur un tapis minimaliste, elle n’en est que plus touchante, en particulier sur The Most Beautiful Music, possiblement la plus belle (non-)chanson de l’année.
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