La classe en slip, c’est possible avec ce moustachu doué. A voir aux Trans. Critique et écoute.
Bien avant de savoir écrire son patronyme du premier coup, on l’avait découvert en souffre-douleur martyr d’une sublime liane en minishort dans le clip de Jive Babe, puis en danseur fou et fort peu vêtu dans celui de I Spy. En slip et chaussettes, moustache de circonstance, Mikhael Paskalev y ravageait son appartement en se prenant pour Tom Cruise période Risky Business.
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Rhabillé pour l’hiver, le Norvégien d’origine bulgare livre enfin son premier ep, où l’on retrouve justement le bondissant I Spy, petit tube euphorique de deux minutes trente fait pour éradiquer la morosité, mais aussi Susie, ballade douce et épurée rêvée dans le Sud des Etats-Unis plutôt que dans les fjords. Quand Come on dégaine ses riffs de slow pour emballer en surprise-partie circa 1963, Dust racle la poussière avec sa guitare crasseuse, sa rythmique de road-trip et sa mélancolie en bandoulière. Mikhael Paskalove.
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