Désormais indépendante, la Bretonne ouvre les fenêtres. Critique et écoute.
Après avoir frayé avec Arno ou Dionysos, et défrayé la chronique en offrant un refrain à Juliette Gréco, Orly Chap se retrouve entière maîtresse d’un univers indie-pop et de drôles de chansons alternant anglais et français. Moins anxiogènes que par le passé, les climats sonores s’enrichissent d’une ampleur inaccoutumée chez la Bretonne. Qui promène son profil lunaire et sa voix brisée au gré de douze vignettes, dont on n’attendra pas de certitudes mais une foule de petites attentions (la majesté des choeurs ici, la fragilité d’un métallophone là).
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