Venue de L. A. par les nuages, de la dream-pop enivrante. Critique et écoute.
Guitare rugueuse malmenée par la réverb, mélodies candides et murmures boudeurs d’une sauvageonne californienne : Boardwalk partage plus d’un point commun avec Mazzy Star. Dès les premières volutes, Boardwalk se propulse dans les nuages qui ornent sa pochette pour un trip hypnotique dont on ressort après dix chansons en position horizontale. Faute avouée, faute mille fois pardonnée : “I’m to blame”, souffle Amber Quintero, grande responsable de ce rêve éveillé, troublante héritière de Liz Fraser et de Julee Cruise.
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